Larmes et retrouvailles

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Quelques jours après son entrée à St Cyr, Marie-Anne était déjà amie avec toutes les filles de sa classe. Mais quelque chose lui manquait. Sa sœur surtout, pourquoi n'avait t'elle pas été accepter en même temps qu'elle ? En fait clémence (car c'était le nom de sa sœur) était sa jumelle.Oui, sa jumelle, les même cheveux noirs ornait leurs tête. Marie-Anne avait toujours fait passer sa jumelle pour une simple sœur, cette pensée rendait la séparation moins douloureuse. la jeune verte venait de finir son deuxième devoir de broderie, quand elle entendit un bruit de roue de carrosse.Ce ne pouvait être le roi , une nouvelle élève peut être ? Elle observa la nouvelle venue et voyant que celle -ci marchait vers le dortoirs des vertes descendit quatres à quatres les marches pour l'acceuillir. Quelle ne fut pas sa stupeur et sa joie de voir avancer vers elle Clémence ! Sa soeur sa jumelle, avait enfin été accepter à st Cyr.Elle se jeta au cou de sa jumelle et se mit a pleurer. En fait elles pleurait toutes les deux. Marie-anne s'écria en essuyant un larme:
-Clémence, vous enfin ! Je n'y croyait plus ! Vous m'avez cruellement manquée !
Venez je vais vous présenter à notre maîtresse. Elle est très gentille , une fois nous avons même fait une bataille de polochons avec elle !! Ahh ! Quelle joie ! dit Marie-Anne en essuyant ses dernières larmes.Elles coururent main dans la main vers les bâtiment pour présenter Clémence à Mme de La Tour.

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[Le sujet n'a pas vraiment sa place ici car les retrouvailles ne se font pas dans le dortoir, mais je laisse passer.]

Invité

(dsl ! mais je savait pas ou le mettre sinon !) (u peux peut être le supprimer et je le réécrit dans un endroit aproprier)

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[Non on le laisse là mais on fait comme si vous étiez arrivée dans le dortoir.]

Céline entra dans le dortoir et découvrit Marie-Anne et la nouvelle venue, Clémence. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d'eau.
-C'est fou comme vous vous ressemblez ! Etes-vous des jumelles ?
En effet, Céline ne connaissait pas encore la nouvelle venue, ni son histoire. Après avoir réfléchit, Céline trouva sa question un peu idiote car il était évident que la réponse allait être "oui".

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- Bonsoir, Marie-Anne ! Ho ! Tu connais la nouvelle ?

PS : Désolée de ne pas avoir répondu pus tôt !

Invité

Clémence essuya ses larmes de joie et reprit un air poli pour se présenter à sa nouvelle maîtresse
-"Oui, je suis la sœur jumelle de Marie-Anne. Mais je n'étais pas acceptée à Saint-Cyr à cause d'un ... problème.
Elle n'osa conter la mésaventure qui l'avait tenu loin de sa soeur, cela n'avait rien d'une demoiselle bien élevée. Le baron de Grenois,sachant sa mère morte et son père malade et ruiné, en a profité pour faire croire à Mme de Maintenon qu'elle avait la rougeole pour l'épouser. Mais Mme de Maintenon s'apercut qu'il avait menti et le roi lui accorda deux faveurs: d'emprisoner Henri-Jules de Grenois et de lui trouver une place à Saint-Cyr.
-"Marie-Anne, je vous croyais morte!!"
Quand la maîtresse des vertes fut partie, Clémence conta toute son histoire à sa soeur jumelle et à une amie à elle, prénommée Agnès, qui avait l'air très sympa.
Elle marqua un temps d'arrêt. Elle n'osait réaliser qu'elle était bien à coté de sa soeur jumelle, et qu'elle avait une place à Saint-Cyr. Une bouffée d'air et de joie l'envahit.Oui, elle était heureuse, et cela faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas été.

Invité

[Juste un truc : les règles du rp que tu n'as pas toujours respectées (c'est pas grave t'es nouvelle !)
- Mets tes paroles en gras
- Mets les actions que tu fais en italique
- Tu n'as pas le droit du faire agir quelqu'un d'autre que toi (ici par exemple, tu n'avais pas le droit de me faire sortir de la pièce) ]

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Marie-Anne poussa un cri !
-Quoi ?! Notre mère est morte ? Comment est possible ? Marie-Anne sentit les larmes lui monter aux yeux. Leur mère, morte ! Ce n'était pas possible ! Comment dieu avait t'il pus après nous avoir enlever à notre famille laisser mourir notre mère ? Cette mère si douce, si consolente, si forte ! Comment avait elle pus mourir ?!

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Clémence conta à sa soeur l'horrible sort de leur mère.

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Marie-Anne enfouit sa tête entre ses main. Leur mère avait été assassiné par les hommes de main du Baron de Grenois, l'homme qui voulait épouser sa sœur.C'était le cousin de notre père, il avait toujours voulut épouser l'une de nous deux. Nos parents on refusés et lorsque j'étais partie pour St Cyr il s'était acharné sur Clémence d'en l'espoir de toucher notre dot et notre fortune. Mais maintenant, il ne pouvait plus faire souffrir ma famille et ma sœur. Il était hors d'état de nuire. Elle continua de pleurer silencieusement, sérrant contre son coeur sa jumelle.

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Agnès, qui écoutait l'histoire de la sœur de son amie, dit en étouffant un cri :
- Mes pauvres ! Vous n'avez vraiment pas de chance !
elle était si triste pour son amie, et était aussi un peu triste pour l'autre jeune fille, car c'était la sœur de Marie-Anne.

Invité

Merci de vous soucier de notre sort, Agnès. Vous avez l'air si gentille ...
Mais je crois que vous aussi, quelqu'un vous manque.Votre soeur Isabelle, non? Eh bien, je ne sais pas si vous savez, elle est à l'infirmerie, elle est en manque d'amour. Elle a parlé de sa soeur Agnès, ce doit être vous. Clémence esperait de tout son coeur aider quelqu'un, ce quelqu'un étant une merveilleuse jeune fille qui avait écouté son histoire et celle de sa famille et été si douce avec elle.Clémence fut émue de repenser à cela : une personne se préoccupait de son sort. Des larmes de joie coulèrent sur ses joues.

Invité

-Ma sœur je suis heureuse que vous deveniez un peu amie
avec Agnès. Mais je lui est appris la veille de votre arrivée que sa sœur était
à l'infirmerie. Mme de La
Fleur m'avais confiée Isabelle mais comme j'ai retrouvée sa
soeur elle n'a plus besoin de moi !
A ces mots le visage si doux de Marie-Anne se crispa. Le fait de se
séparer d'Isabelle l'avait touchée au plus profond du coeur et en reparler
ravivait la blessure de ne plus pouvoir s'en aucuper.

Invité

- Marie-Anne ! Ne soyez pas trop triste, s'il vous plaît ! Vous pouvez être amie avec Isabelle même si je l'ai retrouvé !

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[Les bavardages ne sont pas interdits car nous sommes en plein jour !]

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Ma pauvre Marie-Anne !! dit Clémence d'un ton doux, il est vrai qu'Isabelle avait l'air très gentille.Elle a l'air de beaucoup ressembler à sa grande soeur. elle dit cela tout en regardant Agnès, un grand sourire aux lèvres. Et je suis sûre que vous vous lierez d'amitié avec Isabelle.
Clémence n'était absolument pas jalouse que sa soeur ait des amis. Elle était plutôt heureuse pour elle.
Puis, en remarquant que Mme de la Toure était ici, elle ajouta :
Bien sur, comme il convient.
Car à Saint-Cyr, les jeunes demoiselles ne devaient pas être trop proches.

» Les retrouvailles.[PV Lucie de Basse- Terre]

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