Maison Royale de Saint Louis (Saint-Cyr)
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Maison Royale de Saint Louis (Saint-Cyr)

Forum RPG au temps de Louis XVI, dans la Maison Royale de Saint Cyr à la veille de la Révolution Française.
 
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 Un rêve utopique. [PV Eli']

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MessageSujet: Un rêve utopique. [PV Eli']   Un rêve utopique. [PV Eli'] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 16:20

" Et je nageais, je nageais dans un océan bleu cristallin, limpide, pur. Je nageais, et il me semblait que je volais. Tout était si simple, si fluide. J'étais libre ! Enfin ! N'ayant pour vêtement qu'une chemise de lin blanche, je défiais les lois de l'étiquette en exposant ainsi mon corps presque nu. Je regardais mes jambes, longues, qui s'étiraient à l'infini. Voilà qu'elles devenaient aussi bleus que l'eau qui m'entourait ! L'eau, quelle eau ? J'étais au milieu d'un champs de fleur sauvages. Un petit plateau de thé était à côté de moi. Je penchais la théière délicieusement brûlante vers la tasse de porcelaine, ornée de lapins folatrant. Diantre ! Il n'y avait pas de pince à sucre ! J'éclatais de rire, rejetant mes longs cheveux blonds en arrière. La liberté était si appréciable. Mais que faisais-je au milieu de nulle part ainsi ? Je tentai de me rappeler comment j'étais arrivée dans cet océan, ou du moins, dans cette sauvage prairie. Impossible. Un terrible pressentiment me fit lacher la tasse de porcelaine, qui plongea dans la terre comme si ç'avait été du liquide. Je ne me rappelai pas pourquoi j'étais là. Ce qui voulait, inévitablement, dire que je rêvais. A peine eus-je formulé cette pensé à voix haute, créant des bulles dans lesquelles étaient enfermés mes mots, qu'une douche glacé me fit hurler. "

Katharina se réveilla en étouffant un cri dans son polochon. La sueur froide qui avait coulé le long de son cou l'avait tiré de son rêve en sursaut. Elle s'assit dans son lit, repoussant les couvertures, et tacha de calmer son souffle. Déjà, le rêve prenait le large, les souvenirs allaient se terrer au fond de son esprit, et elle ne se rappelait plus que par bribes. Un océan, des fleurs, des lapins. Pourquoi des lapins ? Ah oui, les Colombes en avaient mangés, exceptionnellement, au dîner. Et une panique, une panique horrible dans ce rêve, lorsqu'elle avait réalisé que c'en était un. Katharina passa la main dans ses cheveux emmêlés, maudissant sa logique qui était survenue durant cette éphémère moment, duquel elle aurait bien voulu profiter un peu plus dans l'ignorance. Comme le cerveau est impitoyable ! Autant qu'imprévisible. La nuit dernière, elle avait fait un cauchemar plus vrai que nature, dans lequel elle se voyait, enfermée dans un St-Cyr en flammes, trop fière pour appeler à l'aide. Accolée à la fenêtre, elle voyait ses camarades s'enfuir de cette prison, dans tous les sens, pendant qu'elle y restait prisonnière. Et elle les maudissait, de courir vers la liberté alors qu'elle en serait privée pour toujours. Ce n'avait été que la brûlure des flammes, douleur qu'elle avait réellement sentie qui l'avait réveillé. Cette fois-ci, la Jaune aurait préféré que ce soit ses raisonnements qui la sauvent de cet horrible cauchemar. Mais cet appel du subconscient l'avait amenée à réfléchir : comme elle était égoïste, de haïr les Colombes de toucher la liberté qu'elle n'aurait pas. Certes, ce n'était qu'un rêve, mais l'Autrichienne s'était rendu compte que dans la vie, elle revendiquait la liberté, sans rien faire pour celles qui voulaient peut-être aussi y goûter sans oser le dire. Dès lors, elle s'était juré de trouver les filles qui n'étaient pas complètement dévorées par l'étiquette et la vie apparemment luxueuse qu'on leur offrait. Et ces filles, elle les emmèneraient vers la Liberté. Comment ? Elle y réfléchissait, et décida de profiter de cette nuit écourté pour aller faire un tour aux écuries. Après avoir enfilé un corsage et une jupe simple, vert forêt, et caché ses cheveux blonds sous un foulard, de peur qu'on ne la reconnaisse si une maîtresse sortait, elle fila hors du dortoir sur la pointe des pieds, oubliant déjà son rêve d'océan et de liberté.

Les écuries étaient plongées dans le noir, seule la lumière de la lune les éclairaient, venant frapper la porte des boxes de sa lumière argentée. Le bruit de ses pas, chaussé de sandales sans talons, sur la paille, fit hennir un des chevaux.
- Chut, tout doux mon beau.
La tentation de grimper sur le dos de l'un d'eux, et de partir au galop, était forte. Très forte, surtout si l'on était une excellente cavalière. Mais Katharina n'était pas là pour elle. Elle passa devant chaque box, évalua la force des chevaux, lesquels pourraient porter deux cavalières, lesquels étaient calmes, combien y avait-ils de selles, etc.. Peut-être était-ce bien utopique toute cette histoire, mais il fallait essayer ! Les chevaux pourraient peut-être servir dans son plan, plus tard, lorsqu'elle aurait trouvé de la compagnie pour... fausser compagnie à St-Cyr. Et s'ils ne l'étaient pas, de toute façons, Katharina trouvait cela très agréable de passer un moment dans la semi-obscurité, entourée des grattements de sabots, des légers hennissement, des bruits de la paille froissée. Mais elle n'osait même pas imaginer de quel châtiment elle devrait s'acquitter si on la trouvait ; et si on la trouvait, elle n'aurait qu'à compter sur la vitesse de ses jambes et à ses habits qui la dissimulaient pour s'en tirer. Mais qui viendrait la trouver au beau milieu de la nuit dans une écurie ?
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Elisabeth du Bois Vermeil

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MessageSujet: Re: Un rêve utopique. [PV Eli']   Un rêve utopique. [PV Eli'] EmptyLun 23 Aoû 2010 - 20:47

[Bon, puisqu´on est a fond dans les reves, continuons, et sur le meme modele que toi hehe ]

Sa voix etait pas aussi colérique qu´elle ne la voulais. Et la crainte y percait beaucoup trop a son gout lorsqu´elle fit :
- Pere ?!
Non, pas lui ! Tout mais pas lui ! Que faisait il ici, a St Cyr ? Comment savait-il, comment avait-il découvert, comment cela lui etait il venu a l´idée qu'elle etait dans la Maison Royale ? Ce n´etait pas normal, elle etait sure que pourtant, personne n´irait l'y chercher... Appart Will, bien sur, mais son pere... jamais. Eh bien si, a la fin, il avait découvert. La voila dans de beaux draps.
Il s´avanca, menacant. Elle recula dans son lit. Elle etait en petite chemise et toutes les autres de son dortoir dormaient. Elle aussi dormait. Avant d´etre reveillée par son instinct. Il fit encore un pas dans sa direction, diminuant la distance entre eux a un pauvre petit metre. Elle faillit hurler mais le cri s´arreta dans sa gorge. Heureusement pour ses compagnes de dortoit. Oui, il fallait se l'avouer, elle avait peur de son pere. Et pas sans raison.
Encore un pas. Il etait maintenant a son chevet. Il avancait lentement, profitant le plus possible de son air effrayé, de ses yeux effarouchés. Pourtant, au fin fond de ses iris verts, il y avait quand meme une parcelle de revolte et de vengeance. Si il la touchait, elle n´hesiterait pas, et lui fouttrait une baffe. Quoi que soient les consequences. Elle se deffendrait jusqu´a la fin. Voila ce qu´elle faisait. Sa liberté, elle la voulait. Et elle ne laisserait personne la lui prendre sans qu´elle ne la protege ou sans qu´elle ne decide de la donner, comme pour son entree a St Cyr. Elle avait accepté de la sacrifier car elle serait au moins en sécurité. Tandis qu´avec son pere, elle serait et prisonniere, et menacée.
Comme pour le prouver, il lui sourit cruelle,ent et fit le dernier pas qui le séparait du lit. Maintenant, si il tenadait le bras, il pouvait l´atteindre. Et c´est ce qu´il tenta de faire. Mais elle fut plus rapide. Elle sauta du lit, le contourna et voulut rejoindre la sortie. Il s´interposa entre la porte et la jeune fille. Elle se retourna pour sortir par la fenetre, mais devant elle se matérialiserent sa mere et sa soeur. Elle les poussa sur le coté et derriere elles se trouvait le chef de chantier.
Elle hurla.
C´etait la chose a ne pas faire. Elle réveillerait les autres bleues a cause de ca...
Les bleues ? Il n´y avait plus de bleues, et la ou il y avait les lits s´ouvraient des galleries. Non, ici a nouveau ! Elle avait espéré ne plus jamais revoir cet endroit.
Elle entendit un sifflement, un sifflement qu´elle ne connaissait que trop bien. Elle leva les yeux et elle le vit. Le fouet. Une laniere qui en partant de la fin s´epaississait et se solidifiait pour terminer en manche que son pere tenait dans la main droite.

Eli se reveilla en sursaut. Ce reve ne la hantait ps souvent, mais c'etait toujours le meme. Chaque fois, elle ouvrait les yeux et se devoucrait tremblante et toute en sueurs dans son lit. Mais cette fois, elle n'etait pas dans son lit. Elel avait dormi sur de la paille, dans un boxe vide de l'ecurie . Elle en avait dlécidé ainsi la veille au soir car elle ne supportait plus toutes les imbécilités des autres colombes. En fait, elle ne supprotait tout simplement plus les autres colombes en elle memes. C'etait bizasrre, elle etait venue a St Cyr de sa propre initiative, mais elle avait l'impression qu'elle etait la seule a vouloir se révolter contre cette prisonm dorée qui leur enlevait toute liberté. Et c'etait d'autant plus bizarre car elle n'avait jamais été libre et elle doutait qu'elle le serait un jour. Pourtant, a cette liberté inaccessible, elle semblai ty asporer plus que toute autre colomne qui pourtant avait jadis été libre. Eli ne le serait jamais, Jamais elle ne parviendrait meme a oublier, et meme si le jour elle arrivait a faire abstraction de ses bleus et meurtrissures qui lui resteraient surement a vie, la nuit et ses reves etaient toujours la pour le lui rappeler. Et meme si surement le jour viendrait ou elle quitterait cette ecole et serait libre de ses mouvements, elle sentirait d'autant plus de crainte et devrait faire tellement attention que l'on ne pourrait pas la considérer comme libre.

Tels etaient les faits, telle etait la vie. Et pourtant, elle essayait, toujours et encore, de trouver la paix, la sérénité. Elle savait une chose. Si cette maison l'emprisonnait, du moins lui assurait elle sans le savoir une protection contre le monde extérieur. Mais elle n'etait pas sure de ce qu'elle voulait. Si elle preferait cette sécurité enfermee a une vie sans frontieres mais ricquee...

Elle se leva. sa robe etait grise de poussiere, dans ses cheveux qui surement etaient en pagaille etaient acccrochés des brins de paille, mais elle n'en fichait bien. Tout comme elle se fichait du regard des autres pour qui l'apparence representait tout, des lamentations des servantes qui devraient laver et repasser a nouveau, des punitions que promettaient les maitresses a celles qui se saliraient de quelle maniere et cause que ce soit. Des punitions, elle ne avait déja endurées de bien pires que celles qu'elle risquait ici, et jamais elle n'avait été propre. Pas qu'elle n'aimât pas, au contraire, masi un brin de poussiere ne la genait pas. D'autant plus qu'elle pouvait l'elnever plutot facilement, ce qu'elle fit en secouant sa jupe. Puis elle sortit. En sautant par dessus la porte du boxe qui ne s'ouvrait plus. C'etait surement pour ca, d'ailleurs, qu'il etait inoccupé. Il se trouvait tout au fond de l'écurie. Plus personne n'y venait. Mais elle oui. Cela ne la genait pas de devoir se hisser sur la portelette, s'y asseoir, passer les jambes de l'autre coté puis sauter pour entrer et sortir. Et que l'on puisse voir ses chevilles ne la genait pas non plus car elles etaient découvertes de toute facon, les robes a sa taille niveau hanches lui etant trop courtes. Et elle aimait cette solitude, les renaclements des chevaux, leur odeur, leur souffle régulier, le bruit de leurs sabots sur le sol et parfois sur le bois des portes... Et surtout le calme, la paix qu'elle ressentait. Malgré le cauchemar.

Non, ne pas y penser !

Elle se dirigea vers un étalon noir comme jais, surtout en cette heure nocturne. Pourtant, bien qu'il fasse nuit, il ne dormait pas. Ses yeux, noirs eux aussi, brillaient d'intelligence. Elle ouvrit la porte et alla blotir sa tete dans sa criniere. Elle le serra bien fort.


- Chut, tout doux mon beau.

Venait il de lui parler a l'instant ? elle en resta abassourdie.
Lorsqu'elle se reprit, elle se dit que ce ne pouvait etre l'animal, aussi intelligent qu'il soit. C'etait une voix de fille, une voix qu'elle avait deja entendue quelque part. Une colombe sûrement. Et pas n'importe laquelle, elle le sentait. Deja le fait qu'elle s'aventure dans l'écurie faisait d'elle une fille particuliere. Et a cette heure, qui plus est ! Elle hésita. elle aimait bien l'idée qu'elle avait eue de monter sue le chevai et de piquer un galop dans la nuit pour se sentir libre, meme pour aussi peu de temps que ce soit, et offrir cette impression de liberté a l'étalon. Mais la fille... Oh et puis tempis. De toute facon, il faisait noir et elle ne risquait pas d'etre reconnue. Et ca vallait bien le risque. Elle se hissa sur le dos de l'animal et d'un petit coup de talons lui enjoignit de sortir de son boxe.


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MessageSujet: Re: Un rêve utopique. [PV Eli']   Un rêve utopique. [PV Eli'] EmptyMar 28 Sep 2010 - 19:32

[ J'suis déso, c'est la moitié de ton texte à toi T.T C'est vraiment court, mais je voulais te répondre rapidement. Bisouxx, j'espère que ca te va quand même :/ ]

Dans la nuit, peut-être l'avez vous remarqué, mais tous les sens se multiplient. Les humains se transforment en chats, sur le qui-vive, aux aguets, que chaque bruit fait stopper, la jambe relevé et l'oreille dressé. Seul le coeur bat la chamade, essaie de s'évader de la poitrine, irrigue le corps d'une adrénaline aigue et surexcitée. Tais-toi mon coeur, pensait Katharina.

Alors qu'elle venait de flatter l'encolure d'un des chevaux, voilà qu'à côté, des bruits de paille froissée. Et ce n'était pas des sabots qui faisaient cette pagaille ; non, il y avait un humain dans les écuries. La jeune femme retint son souffle, anxieuse ; il ne fallait pas que quelqu'un la trouve. Il ne fallait pas. Ou elle serait renvoyée. Elle venait tout juste d'être nommée Noire, assistante de la maîtresse des Jaunes. A vrai dire, elle n'avait accepté ce poste pour les opportunités qu'il offrait. La directrice avait pensé la calmer, la flatter de lui donner ce poste. Mais Katharina, malgré quelques sourires forcés qu'elle avaient bien été obligés d'offrir, jouissait intérieurement de sa nouvelle semi-liberté, de l'autorité qu'elle avait sur les élèves, et de la proximité de la Cour. Car s'il était rare que les maîtresses, leur assistantes, prennent par aux bals, cela l'étaient encore plus pour les Colombes. La Cour, c'était le noyau de la France, c'était le coeur des rumeurs, c'était une mini-ville à elle toute seule. Et Katharina pensait peut-être y retrouver … certaines personnes.

Les bruits s'arrêtèrent quelques instants, puis reprirent. Le monde de l'équitation n'ayant aucun secret pour elle, Kat' reconnu le petit gémissement d'une fille qui enfourchait une monture, le léger hennissement et le grattement de sabot familier. Un léger grincement : la porte du box.
Quelqu'un avait l'intention de filer à cheval ! Quelle imbécile ! Les chevaux n'aimaient que trop l'air pur de la nuit, et de plus étant rarement montés … une fois dehors ils partiraient au galop en hennissant de bonheur. Si Katharina n'en avait strictement rien à faire de la fille qui avait piqué la monture, il en était moins pour elle ; si les maîtresses rappliquaient, elle aussi serait mal. Sans compter que le cheval pouvait se blesser, et même blesser la fille. Et peut-être qu'après cela on déciderait de l'abattre … Les pires scénarios se dessinant dans sa tête, Katharina escalada la porte du boxe, tirant sur ses bras et ses jambes ; sa robe remonta jusqu'à ses cuisses. Il y avait longtemps qu'elle n'avait pas sollicité ses muscles, mais ils réagirent au quart de tour et elle se jeta sur l'ombre qui passait devant elle.

Reconnaissant son odeur, l'équidé n'eut qu'un petit mouvement de recul avant d'enfouir les naseaux dans ses poches, à la recherche de friandise. L'Autrichienne le poussa délicatement, avant d'attraper le bas de la robe de la cavalière, et de l'autre main, de tirer sa taille pour la mettre à terre. Elle fit cela sans trop de douceur, mais en espérant tout de même que l'inconnue ne se mette pas à hurler.
Plissant les yeux, elle réussit à reconnaître une camarade. Elles ne s'étaient pas toujours très bien entendues, mais la maturité, le mépris silencieux et le temps passé à St-Cyr ne les avaient pas rendues plus agressives l'une envers l'autre. Katharina chuchota, mi-excédée, mi-surprise :

- Elisabeth ? Que faites-vous ici ? Etes vous assez folle pour vouloir vous enfuir ? Vous n'auriez aucune chance.
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