rp depuis les écuries

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Claire se fofila dans les coins du gigantesque jardin... Elle avait peur... Elle pleurait. Toutes les colombes la regardaient avec un air interrogateur courrire comme une folle.-qu'a-tu? demanda une colombe en se rapprochant d'elle.

-... j'ai vu...

mais elle fut coupée par les applodissements des maîtresses signalants la fin de la récréation.

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Anne discutait avec les autres maîtresses tout en surveillant la récréation. Il fut l'heure de rentrer et elles tapèrent donc dans leurs mains afin d'appeler les élèves. Ces dernières arrivèrent toutes, rapidement mais calmement, et se placèrent en rang silencieux face à leur maîtresse. La dernière arrivée dans la colone des jaunes fut Claire. La jeune maîtresse remarqua tout de suite que quelque chose n'allait pas à cause de la rougeur de ses yeux. Elle se tourna vers Camille qui était la première du rang :

-Mlle de Maisondieux, pouvez-vous conduire vos camarades jusqu'à la salle de classe s'il vous plait ?

La jeune fille aquiessa et elles se dirigèrent toutes vers le grand bâtiment. Lorsque Claire arriva à sa hauteur, Mlle de la Fleur l'arrêta :

Puis-je vous parler un instant ? demanda-t-elle tout en entrainant doucement son élève un peu à l'écart. Que vous arrive-t-il Claire ? Vous n'avez pas l'air en forme. Y a-t-il un problème ? Vous pouvez m'en parler, vous savez.

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-Mlle de Maisondieux, pouvez-vous conduire vos camarades jusqu'à la salle de classe s'il vous plait ?

Camille acquiesça , et, prenant la tête devant se camarades, entama sa monter dans la merveilleuse bâtisse. Comme elle put se douter, en absence de leur professeur, le silence de mise fut quelque peu dissipé. Dans l'ampleur du château, l'écho n'était que plus intense, et rendait la cacophonie encore plus bruyante qu'elle ne l'étais déjà. La colombe se mordit les lèvres. Autant de bruit risquait de ramener tout le monde... Elle prit donc son courage à deux mains, pour faire taire ses amies.

- Allons mesdemoiselles, ne vous comportez pas en enfant!

Elle regarda ensuite autour d'elle, si personne n'était là, pour être sur qu'elle ne serait pas plus entendue, et se retourna vers les jeunes filles ahuries avec son regard malicieux:

- Nous pourrons le faire dans la salle de classe vide!

Un regard éclairé anima toute la classe. Les jeunes filles se pincèrent les lèvres, et finir leur ascension pour arriver jusqu'à la salle de classe. Chacune retourna à sa lace pendant que Camille faisait le gaie. Elle toisa le couloir avec attention, à l'affût du moindre bruit de pas. Elle ferma attentivement la porte, et se retourna. Les jeunes filles la regardaient en quête d'une réponse à leurs besoin de liberté. Elle leurs sourit. Le oui fut alors de mise, et les discussions aussi. Mais Camille n'était pas des bavarde. Elle s'approcha quand à elle d'une fenêtre, pour observer ce qu'il se passait dehors. La situation était étrange, et, quand Camille avait croisé Claire, elle avait l'air vraiment très triste. La curiosité lui tiraillé le ventre. Elle avait vraiment envie de savoir ce qu'il se passait... Mais elle serait certainement réprimandé... Tant pis, la colombe quitta son poste d'observation, et se dirigea vers la porte. Une voix derrière elle demanda:

- Où allez-vous?

- ne vous en fait pas mon amie, je vais voir si mon aide n'est pas de trop.

Elle tourna la poignet et partie vers le jardin.

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Cela faisait plusieurs minutes que Anne essayait de savoir ce qui tourmentait sa jeune élève, mais rien n'y faisait. Claire s'obstinait à ne rien dire.

Mlle de Courtois, dit-elle d'une voix douce. Vous savez que je veux vous aider, je suis aussi là pour cela. Laissez parler votre ou je ne pourrais rien faire.

C'est alors que Anne vit arriver tout doucement Camille de Maisondieux, l'élève à qui elle avait demandé de surveiller le reste de la classe des jaunes.

Eh bien Mlle de Maisondieux ! s'exclama-t-elle légerement en colère. Que faites vous ici ? Ne vous ai-je point demander de rester avec vos camarades pour veiller au calme de cette classe ?

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Quand elle entendu son nom résonnait dans le vent, Camille s'arrêta sur le champ. Elle se s'attendait pas à être repérait aussi vite. Mais ce qui devait arrivé arriva, c'était indéniable. Elle se dirigea alors vers sa maîtresse, la tête baissé, et les mains croisé devant elle. Elle s'arrêta devant Anne, qui enchaîna:

Que faites vous ici ? Ne vous ai-je point demander de rester avec vos camarades pour veiller au calme de cette classe ?

La colombe contenait difficilement le léger sourire qui perçait à ses, alors que son regard était inévitablement attiré par la fenêtre qui menait à sa classe. Elle n'osait pas imaginer quelles pouvaient être les discussions qui l'animait. Mais, pour une fois que ses camarades avaient l'accès à un peu de liberté, Camille n'avait pas de remord. Elle se jura quand cette pensée effleura son crâne de prier intensément pour qu'elle quitte son âme. On ne devait pas être fière pour un telle acte de désobéissance. Mais sauver son cas était, dans l'immédiat, le plus important pour elle. Elle fit attention de construire sur son visage un masque d'anxiété et de compassion, sans oublié dans ses yeux une pointe de regret. Elle leva alors les yeux vers Anne et Claire, pour leur fournir une explication:

- Excusez moi, je vous pris, madame, pour mon comportement inadmissible. Nous avions remarqué le triste état de Claire, et je me demandais si mon humble aide n'était pas de trop. Si vous l'acceptez, je serais ravie de vous prêter main fort.

Elle baissa à nouveau la tête, attendant la réponse des deux demoiselles à qui elle venait de parler. Anxieuse, elle ne put s'empêcher de mordre sa lèvre inférieur. Elle sentait les regards de ses camarades par delà la fenêtre, et réprima l'envie qu'elle avait de pousser un profond soupire.

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Claire acciessa juste un petit sourire timide mais tremblant pour rassurer Camille. La maîtresse des Jaunes acciessa aussi en sourrire d'un aire "ne t'inquiette pas... Vas dans la classe maintenant". Quand Camille fut partie Claire put répondre.

*Et bien ... C'est que... Dans les écuries ... Enfin... Vous savez ... c'est dur à dire... Car c'était interdit ... Enfin vous savez...*

La voie de Claire tramblait de peur... Et mlle de la Fleure compris de suite qu'elle avait commis une grave eurreure.

Invité

************************

dsl j'ai fait des erreures ... j'était pressée... et aussi dsl si je fais jouer vos personnages...

[Ba édite pour corriger... juste, c'est les pensées entre *...*, pas les paroles. Pour les paroles, le gras suffit, avec un tiret devant...
PS: ne prends pas tout ca mal... je sais que tu es nouvelle!]

Invité

[ok ! tu sais ... ça ne me vexe pas!!!]

Invité

[tkt y a pas de problème ^^]

Claire essayait enfin de s'expliquer, mais la peur semblait l'empêcher de formuler une phrase correcte. Cependant, sa maîtresse compris tout de même qu'il s'était passé quelque chose aux écuries... Quelque chose de grave...

Mon Dieu, Claire, souffla-t-elle. Qu'avez vous fait ?

La jeune fille n'avait vraiment pas l'air bien.

Vous m'expliquerez tous ça. Mais d'abord, allons à l'infirmerie pour vous rafréchir un peu.

Invité

oui madame.

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