Le début d'une nouvelle amitiée (Suite jardin) (RP Isabeau+Adeline)

Invité

Par un beau jour d'hiver, Isabeau décida d'aller voir Flèche, le poulain que son père avait donné a St-Cyr. Isabeau étais arrivée a St-Cyr la journée précédente avec quelques autres Rouges et deux Vertes. Une étais déja à l'infermerie et l'autre, elle en savais rien. En arrivant près du box de Flèche elle décida de lui flatter l'encolure. Puis, elle entendit une sorte de grincement. Isabeau se retournât mais ne vue que la porte d'un box se refermer rapidement. Elle se dit '' Ce n'est qu'un page qui viens nettoyer le box de Prince''... Elle fut sortit de ses pensées par une voie pas inconnue mais pas familière.

-Hum... Je suis Adeline d'Ancénis. En classe des vertes. Je suis nouvelle ici.

Elle fit le tour d'Isabeau puis continua:

-Tu aime les chevaux ? Moi aussi, je les adore. Je me sens comme... libre, avec eux.

La rouge la regardait, incrédule

-Ho pourtant, je ne me sens pas enfermée ici. D'ailleurs, c'est même moi qui ai demandé à ce que l'on m'inscrive à Saint Cyr ! Vois tu, je n'avais pas d'amis chez moi, en Bretagne. Ho, tu es déjà allée en Bretagne ?

Isabeau ne l'écoutais plus. Mais quand elle entendit:

-Et toi, comment tu t'appelle ?

-Moi? Isabeau De Temple-Jolie, fille de feu d'Isabelle d'Esteban et de Gabriel De Temple-Jolie. Est-tu arrivée hier avec l'autre Verte qui est a l’infirmerie?

Invité

(En fait tu ne peux pas écrire les pensées et les actions de mon personnage ^^ Je reprends à partir du fait que tu es dans l'écurie en train de flatter l'encolure de Flèche alors, mais on oublie le dialogue ! Et du coup toi tu répondras en prenant compte ce que je vais écrire Smile

si tu as des soucis n'hésite pas à demander ^-^)

Il faisait froid. Une légère couche de neige recouvrait le sol, et les végétaux semblaient comme cristallisés dans le givre. Ce spectacle était fascinant pour Adeline. Elle s'attardait devant chaque brin d'herbe emprisonné, chaque petit stalactite. Cela ne faisait même pas un jour qu'elle était parmi les colombes, et elle ne savait absolument pas si elle avait le droit ou non d'être là. Elle marchait, légère, dans le paysage blanc, sans vraiment faire attention à où elle allait. Au hasard des chemins empruntés, elle finirait sans doute par découvrir quelque chose d'intéressant... En effet. Alors qu'elle tourbillonnait entre les flocons qui venaient juste de recommencer à tomber, elle tomba nez à nez avec l'écurie. Curieuse, elle avançait à petits pas vers le bâtiment. Adeline reconnu de suite l'odeur, l'ambiance qui se dégageait du lieu. Elle avait toujours aimé les chevaux. Ils lui rappelaient ses parents, son père surtout, et ses longues années d'insouciance. Un petit sourire amusé illumina son visage.
Je n'étais pas si mal là bas finalement... se surprit elle à penser.
Elle poussa la lourde porte en bois de ses petites mains blanches, comme si c'était la porte du paradis. Il faisait plutôt sombre, et elle avait du mal à distinguer le nombre de chevaux à l'intérieur. Adeline plissa les yeux et s'approcha sans un bruit du box d'un des équidés. Il passa sa tête grise pommelée par dessus la porte, soufflant un air chaud sur le visage de la jeune fille. Elle ferma les yeux. Elle se revoyait sur la plage, les cheveux au vent, les joues rosies, les yeux vifs, remplis d'excitation. Libre.
"Hoo, doucement mon beau !"
Elle posa sa main sur le chanfrein du cheval. Elle n'arrivait pas à lire son nom inscrit sur la plaque en métal, et tenta de le déchiffrer en passant ses doigts sur l'inscription. P... Pri... Prince. Elle n'en était pas vraiment sûr en fait, mais cela lui plaisait. Ça serait le nom qu'elle lui aurait choisit, en tous les cas. Ce choix était très certainement influencé par son envie de grandeur, de richesses, et de faste à la cour du Roi. Alors qu'elle se retournait, ses cheveux d'or dans les yeux, elle sentie qu'elle n'était pas seule. Elle se rapprocha de la porte, non pour fuir, mais plutôt pour l'ouvrir en plus grand afin de faire entrer la lumière. Elle se sentait soudainement rattrapée par sa peur du noir, sa peur de l'inconnu, qui, pourtant, pouvait être tellement excitant par moments. Plus loin, une jeune fille, pas bien grande à première vue, caressait tendrement un cheval, près d'une botte de foin. Timide mais avide de nouvelles rencontres, Adeline se dit que c'était son jour de chance, et, faisant son plus beau sourire, le cœur battant, elle s'approcha sans un bruit de la silhouette. Elle pu distinguer, dans un faible rayon de soleil, que des rubans rouges étaient accrochés au bas de sa robe. Elle adorait les gens, mais, soudain, un doute lui vint. Savait-elle vraiment comment s'y prendre ? Après tout, elle n'avait jamais véritablement quitté le cocon familiale, et elle venait à peine d'arriver à Saint Cyr.
Prends ton courage à deux mains, et va parler à cette petite fille ! se dit-elle, essayant de se persuader que c'était la chose la plus simple du monde.
Alors, elle serra les poings, comme pour s'empêcher de faire demi tour. Si quelqu'un l'avait vu à cet instant, il se serait très certainement moqué d'elle. C'est vrai, c'était ridicule. Elle se trouvait ridicule. Comment pouvait-elle avoir peur d'aller vers les autres, alors qu'elle en mourrait d'envie ? Certainement parce qu'elle avait été trop chouchouté, trop aimé, trop... Enfermée peut être, étant petite. Mais il était temps de changer. Après tout, c'était pour cela qu'elle était là. Comme elle ne faisait aucun bruit, la rouge ne l'entendit pas venir, et, maternelle, Adeline posa une main sur son épaule. Avant même qu'elle ne se retourne, elle sourit, et commença à se présenter.
"Hum... Je suis Adeline d'Ancénis. En classe des vertes. Je suis nouvelle ici."
Puis, faisant le tour de la jeune enfant, comme libérée de toute gêne, elle continua.
"Tu aime les chevaux ? Moi aussi, je les adore. Je me sens comme... libre, avec eux."
Elle s'autorisa un petit rire.
"Ho pourtant, je ne me sens pas enfermée ici. D'ailleurs, c'est même moi qui ai demandé à ce que l'on m'inscrive à Saint Cyr ! Vois tu, je n'avais pas d'amis chez moi, en Bretagne. Ho, tu es déjà allée en Bretagne ?"
Ne se rendant pas compte qu'elle s'était lancée dans un monologue, Adeline continuait de parler, la main sur l'encolure du cheval. Ce n'est que lorsqu'elle croisa le regard de la petite qu'elle se tu enfin, passant sa main dans ses cheveux. Décidément, elle ne savait vraiment pas comment s'y prendre.
"Et toi, comment tu t'appelle ?"

(désolé, c'est court et pas terrible, mais je ferais mieux la prochaine fois !)

Invité

Isabeau de Temple Jolie a écrit:: Par un beau jour d'hiver, Isabeau décida d'aller voir Flèche, le poulain que son père avait donné a St-Cyr. Isabeau étais arrivée a St-Cyr la journée précédente avec quelques autres Rouges et deux Vertes. Une étais déja à l'infermerie et l'autre, elle en savais rien. En arrivant près du box de Flèche elle décida de lui flatter l'encolure. Puis, elle entendit une sorte de grincement. Isabeau se retournât mais ne vue que la porte d'un box se refermer rapidement. Elle se dit '' Ce n'est qu'un page qui viens nettoyer le box de Prince''... Elle fut sortit de ses pensées par une voie pas inconnue mais pas familière.

-Hum... Je suis Adeline d'Ancénis. En classe des vertes. Je suis nouvelle ici.

Elle fit le tour d'Isabeau puis continua:

-Tu aime les chevaux ? Moi aussi, je les adore. Je me sens comme... libre, avec eux.

La rouge la regardait, incrédule

-Ho pourtant, je ne me sens pas enfermée ici. D'ailleurs, c'est même moi qui ai demandé à ce que l'on m'inscrive à Saint Cyr ! Vois tu, je n'avais pas d'amis chez moi, en Bretagne. Ho, tu es déjà allée en Bretagne ?

Isabeau ne l'écoutais plus. Mais quand elle entendit:

-Et toi, comment tu t'appelle ?

-Moi? Isabeau De Temple-Jolie, fille de feu d'Isabelle d'Esteban et de Gabriel De Temple-Jolie. Est-tu arrivée hier avec l'autre Verte qui est a l’infirmerie?

La jeune rouge semblait ne plus écouter Adeline. Ou tout simplement, elle ne l'avait peut être pas écouté, jusqu'à ce qu'elle lui demande son prénom. La petite fille tourna son visage vers elle, animé, et dit, d'une jolie voix :
"Moi ? Isabeau De Temple-Jolie, fille de feu Isabelle d'Esteban et de Gabriel De Temple-Jolie. Est tu arrivée hier avec l'autre verte qui est à l'infirmerie ?"
Adeline n'écoutait plus. Elle était restée sur le "feu Isabelle d'Esteban". C'était peut être curieux, mais elle se sentait mal. Très mal. Terriblement mal. Alors, cette petite, au visage si doux et à la voix si agréable, était orpheline de mère ? Cette vision lui soulevait le cœur, remuait le fond de son âme. Peut être était-ce parce qu'elle même était particulièrement proche de sa mère, ou bien, l'instinct maternel était il quelque chose de prédominant chez elle ? Dans tous les cas, elle ne se voyait pas vivre sans celle qui lui avait donné la vie. Elle rit intérieurement. N'était-ce pas ce qu'elle était en train de faire, après tout ? Certainement, mais elle savait qu'il y aurait toujours une main délicate et un cœur attentionné pour répondre à ses lettres. Elle se retourna. Caressant le bois de la porte, elle fixait le rayon lumineux qui entrait dans l'écurie.
"Alors, tu as perdu ta mère..."
Elle marqua un temps. Adeline fit face à la jeune fille, un sourire plein de compassion sur le visage, essayant de chasser cette mauvaise vision.
"Je suis arrivée hier, en effet. Mais, seule, il me semble. Enfin, je crois..."
Elle s'en voulait maintenant d'avoir évoqué la mère d'Isabeau. Isabeau. C'était un joli prénom, pensait-elle. Il lui évoquait les longues balades dans les champs, derrière les riches propriétés des amis de ses parents. Peut être avait-elle connu une Isabeau, autrefois ? Qu'importait, elle ne s'en souvenait plus. Elle était maintenant face à quelqu'un qui était disposé à lui parler, et elle était heureuse. Heureuse de faire connaissance. C'était peut être idiot, mais l'idée d'avoir une amie la mettait en joie, plus que n'importe qui d'autre !
"Pourquoi, tu connais la jeune fille qui est l'infirmerie ? Moi non, mais j'espère de tout cœur que ce n'est rien de grave. Je déteste la maladie, elle me fait terriblement peur."
Quelle phrase stupide. Évidemment que tout le monde avait peur de la maladie ! Pourquoi est ce qu'elle avait dit ça elle ? Histoire de parler, sans doute. Elle résolut de se taire avant de sortir une autre bêtise et de retomber dans un monologue.

Invité

- Ma mère? Oui. Mon père également.
Le doux visage de la verte la rassura. A part Madame, personne ne lui avait encore adresser la parole a St-Cyr. S’apercevant que les boxs n'avais pas encore été nettoyer et que sa robe est sale au bas, elle sortit précipitamment su crottin dans lequel elle étais restée. Quand elle vue la sellerie, Isabeau propasa a Adeline d'aller galoper un peu dans le pré.

-Appelle moi Isabe, et je peux t'appeler Adele? Et veut tu aller Galoper??

(Désoler, j'ai pas beaucoup d'inspiration...)

Invité

(c'est pas grave, ça a pas besoin d'être long, même trois lignes ça me va :p)

"Ma mère ? Oui. Mon père également."
Le cœur d'Adeline s'affola. Cette enfant, qui semblait douce et innocente comme la neige, était orpheline, de ses deux parents ! Elle aurait voulu sourire pour lui faire oublier cette tragique situation, mais ça aurait été certainement inapproprié. Elle se contenta de poser une main affectueuse sur son épaule. Isabeau jeta un coup d’œil au bas de sa robe crottée, et sortit d'un bon du box dans lequel elle était. Son joli regard se posa sur la sellerie. Adeline tourna la tête vers cette pièce qui sentait bon le cuir.
"Appelle moi Isabe, et je peux t'appeler Adele ? Et veux tu aller galoper ?"
La verte sourit à pleines dents. Galoper ? Sur un de ces sublimes chevaux ? Essayer de lui faire oublier la mort de ses parents ? Ce qu'elle adorerait ça !
"Ho, j'aimerais vraiment ! Mais... Tu es sûre que l'on a le droit ? Tu sais, c'est mon premier jour ici, et je n'aimerais pas avoir à aller dans le bureau de Madame la directrice..."
Elle passa ses mains sur sa robe afin d'épousseter des saletés imaginaires. Elle faisait souvent ça quand elle ne savait pas trop quoi dire. Pourtant, elle était terriblement séduite par cette idée. Ce qui devait certainement se voir sur son visage ! Elle se mordait la lèvre inférieur en se dandinant d'un pied sur l'autre.
"Et puis, après tout, vivons la vie pleinement !"
Adeline s'approcha du box de Prince, heureuse comme tout, mais hésita un instant avant d'y entrer. Était-ce une bonne idée ?

Invité

-Nous avont droit seulement dans les jardins, Tu veux qui? Prince? Ou Mistic? Moi je prend Flèche.

Isabeau se rendit compte quelle parlait seule, alors elle lui demandit,

-Sais tu seller un cheval? la selle de Prince est la 3 iem et son mord le 1 er. Prend tu une cravache?

Isabeau, sauta alors sur la sellerie pour aller chercher la bombe numéro 2, la sienne. Son pere lui avait donnée avant de mourir. Sa mêre, elle lui avait donnée une robe. Isabeau la garde présieusement dans son coffre pour ses vingt ans.Elle prit une selle a regret; Chez elle, elle galopait a sec. Içi la selle étais obligatoire. Elle, Marie et Aurore avait longtemps juste réussie a aller au trot, elles étais folles de joies! Isabeau pensa qu'Adeline puisse remplacer ses soeurs et elle ne se trompait pas. Isabeau accrocha solidement la selle au dos de Flèche. Mistic la regardais en se demandant pourquoi lui mais pas elle. Elle vouIait sortir du box, Isabeau se mit a crier:

-Adeline? Ne prend pas Mistic mais bien Prince!

Invité

"Nous avons le droit seulement dans les jardins. Tu veux qui ? Prince ? Ou Mistic ? Moi je prends Flèche.."
Adeline écoutait d'une oreille distraite. Elle gardait le regard posée sur le cheval gris pommelée qui se tenait face à elle, fier. Alors qu'elle tendait la main pour lui caresser le chanfrein, elle entendis le pas léger d'Isabeau passer en coup de vent près d'elle.
"Sais tu seller un cheval ? La selle de Prince est la troisième et son mors le premier. Prends tu une cravache ?"
Elle tourna la tête vers Isabeau. Elle attendait sa réponse devant la sellerie, une petite extension au murs froids et au sol pavé, entre deux trois boxs. Adeline fit un mouvement de la tête pour dire acquiescer.
"J'ai appris très tôt à monter à cheval. Chez moi, les champs sont immenses, et la plage est constamment déserte. C'est un véritable plaisir."
En suivant la jeune rouge, elle se rendit compte que le tutoiement, chose assez rare pour cette époque, c'était installé d'instinct. Alors qu'elle n'avait jamais parler à personne à part ses parents et ses frères, elle se sentait en confiance avec elle. C'était curieux, mais elle aimait sa compagnie. Elle avait l'impression qu'elle aurait toujours quelque chose à lui dire. Détaillant son visage, elle observa qu'elle faisait la moue en portant la selle. Était-elle trop lourde ? Ou bien... Peut être qu'elle n'avait pas l'habitude d'en utiliser une, voilà tout. Elle l'avait fait, autre fois, monter à crue. C'était il y a bien longtemps. Mais elle en gardait des souvenirs incroyablement vifs. De ses mains délicates, Adeline attrapa le mors, qu'elle posa sur le coin de la porte avant de porter la selle à bout de bras. L'inquiétude commençait pourtant à la gagner. Ce matériel semblait... royal. Enfin, il était bien entretenu, luisant, les chevaux semblait merveilleux et... Tout ceci lui semblait irréel. On l'avait prévenu de la dureté de l'établissement, mais pour le moment, elle se sentait libre. Libre comme l'air. Isabeau semblait intrépide et alaise comme tout. Elle sanglait le cheval nommé Flèche avec une aisance qui surprenait Adeline. L'équidé voisin semblait la regarder, intrigué.
"Adeline ? Ne prends pas Mistic, mais bien Prince !"
Elle esquissa un petit sourire.
"Il n'y a pas de soucis, je ne me tromperais pas !"
Elle ouvrit prudemment la porte en bois, et fit claquer sa langue contre son palet. Elle avait peur d'avoir perdu l'habitude de seller un cheval, après que ses parents aient engagé des palefreniers et des écuyers qui s'en occupaient pour elle. Elle ne se débrouilla pas trop mal. Mais le problème restait encore la tenue. Elle était habillée comme les jeunes filles de St Louis, et elle arborait fièrement ses rubans verts. Elle conduisit le cheval hors de son box, en faisant bien attention à ce qu'elle faisait. Elle était excitée et stressée à la fois. C'était amusant et dangereux de courir un tel risque.
"Allons nous dans les jardins, maintenant ?"

Invité

-Allons nous dans les jardins, maintenant

-Oui, peut-tu passer le licol à Flèche, s'il vous plait. Je suis trop petite pour le faire.

La verte dis oui d'un regard et alla l'aider. Isabeau étais fière car elle aura bientôt l'age d'ètre en classe verte. Dans quelque mois, elle serais peut Suremend a coté Adeline.

-Adeline, est ce que Calipso est sevère?`

La verte fut comme interloquée par cette question et bredoulla quelque chose qu'Isabeau ne comprit pas. Sa ressamblait à sa: '' Non, Pourquois cette question? '' mais Isabeau n'en étais pas sure. Tout a coup, Mistic se mit a ruer et a vouloir sortir de son box. Elle étais en furie. Sa robe noire la fesait encore plus imposante.

-Attention! Sort, je te rejoint. cria Isabeau.

Mais en même temp, elle fut prise d'une quinte de toux. Elle toussait, toussait. Mais elle réussie a se calmer. Misatic aussi. Isabe prit le licol De Flè`che et de Prince puis sortit. Adeline l'atendais a coté de l'écurie. Isabeau lui proposa d'enlever son jupon pour être confortable

Invité

"Oui, peux tu passer le licol à Flèche, s'il te plaît. Je suis trop petite pour le faire."
Adeline aquiesca du regard et alla aider celle qui semblait devenir sa petite protégée. Elle avait beaucoup d'affection pour elle. Peut être parce qu'elle avait l'air fragile et perdue ? Ou bien tout simplement, parce qu'elle était orpheline ? Elle observait les grands yeux du cheval, tout en passant le licol autour de la tête de ce dernier. Adeline se retira du box, voyant ses souliers crottés. Elle fit la moue, se demandant comment elle allait pouvoir arranger ça.
"Adeline, est ce que Calypso est sévère ?"
La jeune verte fit de grands yeux ronds. Calypso... Elle chercha bien au fond de sa mémoire. En effet, ce nom lui disait quelque chose, mais impossible de se souvenir à qui il appartenait. En tous les cas, une chose était sûre : elle faisait partie du Saint Cyr. Toujours à côté d'Isabeau, elle se souvint enfin : c'était sa maîtresse. La maîtresse des vertes. Regardant la petite rouge, elle se dit qu'elle allait sans doute quitter sa classe pour venir la rejoindre l'année prochaine, et qu'elle appréhendait certainement cette nouvelle "épreuve".
"Je ne sais pas. Pour tout te dire, j'ai à peine eu le temps de la voir dans le bureau de Madame. Je rejoindrais mes camarades dans sa classe dès demain."
Alors qu'Adeline laissait vagabonder son esprit, Mistic, une jument de taille et de robe imposante, se mit à ruer comme une furie. La jeune fille blonde eu un mouvement de recul. S'il n'y avait pas eu la porte de son box, elle aurait pu être piétiner, avant même d'avoir pu s'en apercevoir. Isabeau semblait bien la connaître, et dit, d'un ton énergique et pas vraiment commun pour une enfant de son âge :
"Attention ! Sors, je te rejoins."
La verte conduisit alors Prince à l'extérieur de l'écurie, tandis que son amie essayait de calmer la jument. Un coup de vent la fit frissonner. Elle posa alors son regard sur Isabeau, qui ne cessait de tousser, secouée par une violente quinte de toux. Inquiète pour elle, elle voulut s'approcher, mais elle se calma au bout de quelques secondes. Curieusement, Mistic aussi semblait plus apaisée. Isabeau fit à son tour sortir sa monture et l'arrêta devant Adeline. Elle lui proposa d'enlever son jupon pour être plus confortable.
"Pourquoi pas après tout. Mais, j'ai une inquiétude : où laisserons nous nos jupons ? Je n'aimerais pas que l'on me le vole ou bien, qu'il soit tout crotté. Il pourrait tomber dans un des box, par un coup de vent. Et puis, il ne fait pas bien chaud."
Mais puisqu'elle n'avait pas l'habitude de monter avec autant d'habits sur elle, elle attacha Prince à un anneau, et retira son jupon derrière la porte. Elle étouffa un petit rire de se voir si intrépide. Elle le jupon en question à la place de la selle du cheval, espérant de tout cœur que personne ne le découvrirait là bas, puis retourna auprès de son amie Isabeau.

Invité

-Pourquoi pas après tout. Mais, j'ai une inquiétude : où laisserons nous nos jupons ? Je n'aimerais pas que l'on me le vole ou bien, qu'il soit tout crotté. Il pourrait tomber dans un des box, par un coup de vent. Et puis, il ne fait pas bien chaud

Isabeau la regardais, avoir froid? Pas Isabe. Elle lui dit, comme pour la comvaincre:

- Tu veux galoper en jupon? J'ai déjà essayer et ces IMPOSIBLE! Eee, je veux dire vous, excusez moi aussi pour les autres fois, je vous prie.

La rouge étais la plus génée de tout St-Cyr. tellement qu'entre une fraise et elle, il n'y avait pas grand différence. Adeline sembla interloquée et sortit son jupon de sous sa robe et le mit a la place de la selle, Isabeau l'imita.

(Désoler je prendrais l'avion pour venir m'excuser du Rp minable.