Une journée ensoleillée d'hivers Jeanne se promenait entre les arbres bien entretenus et les fleurs. Certaines fleurs étaient à l'avance et avait déjà fleuri. Les odeurs douces chatouilla les narines de Jeanne.

Même si le soleil brillait, le froid de l'hiver était encore présent. Les orteils de Jeanne sentait si rigide sous ses jupons. Elle pensait à sa mère, si inconnu qu'elle était comme une personne imaginaire, jusqu'à ce qu'elle vit une silhouette lointaine qu'elle reconnaissait. Son cœur manqua un battement ... c'était Paul Seymour.

Prise de avec joie, elle a soulevé ses jupons pour courir vers lui. Ses cheveux roux, attachés en chignon s'estais défait avec le vent.

- Paul!

Cria Jeanne au garçon sur ​​l'échelle. Que faisait-il ici, en travaillant en tant que jardinier? Peut-être que son da changé d'avis sur l'apprentissage de parfum? Mais elle ne se souciait pas, elle était trop heureuse de le revoir.

Paul travaillait sur un arrangement floral lorsqu'il entendit qu'on l'appelait.

- Paul!

Il se retourna pour trouver Jeanne courir vers lui. Il ne pouvait pas s'empêcher de sourire à sa façon maladroite de la course.

Une fois qu'elle était près de lui, il examina son visage. Elle n'avait pas changé au cours de ces mois appart. Oubliant les règles de l'école sur l'affection et son contact avec les étudiants interdit, il la prit dans ses bras et l'embrassa sur la joue.

- Jeanne, je suis tellement heureux de te revoir ... Ma chère petite sœur ... Aime tu vivre ici?

Petite soeur était le nom affectueux qu'il l'appelait. Il avait toujours voulu une petite sœur ou un frère pour s'occuper et le fait qu'ils avaient tous deux perdu leur mère a créé un lien entre les deux amis qui ne pourrait jamais se briser.


Ils avaient toujours parlé de façon informelle ensemble.

Il ne pourrait jamais oublier le jour où ils se sont rencontrés. Elle était si petite, venait d'avoir sept ans le mois dernier. Elle s'était perdu dans les rues et Paul, qui avait dix ans, lui demanda:

- Eh! Poils de carottes! Tu est perdu?

Il avait ri voyant ses yeux choqués en le regardant pour son langage familier envers elle.
Il l'avais emmenée jusqu'a chez elle, ils parlèrent pendant tout le trajet et ont commencé une amitié.

Madeline se promenais dans les jardins. Tout a coup, Elle entendit une voie provenant du fond du jardin, puis une discution animée;

- Paul!

- Jeanne, je suis tellement heureux de te revoir ... Ma chère petite sœur ... Aime tu vivre ici?

Madeline en avais assez entendut. Paul étais le jardinier, et il n'a pas le droit de converser avec les jeunes filles. Jeanne étais surement une éleve de mlle De Jinerais. Madeline se mit a courir vers le petit monde et avertis Paul:

- Monsieur Seymour, je vous avertis. Si je vous reprend a parler a une des colombes, j'irrais en parler a Mlle De Villefranche. Tant qu'a vous, Mlle, vous serez transeferez dans un couvent a Saint-Glin-Glin, si je vous y reprend. Suis-je assez claire? Ou vous avez besoin d'une retenue?

Madeline avait un air cripsé. Pourquoi avait elle été si dure? C'est vrai qu'a force de remettre les colombes a leurs places, quelle a pris l'habitude d'être un auttoritaire. Il faut reconnaitre quelle eu un peu envie de les punirs immédiatement, mais ils ont l'air si tristes, qu'elle les laisses tranquille. Mais avant de partir, elle lança:

- A votre place, j'écouterais ces recomandations. Sinon vous risquez le fouet.

(Vous pouriez rappeler Madeline dans le prochain?)